14 avril 2008
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TRAVAILLER PLUS POUR GAGNER QUE DALLE
(des patronnes qui ne paient pas leurs employés, voilà ce à quoi a échappé la Frânce)
Ne voyant nulle espèce sonnante et trébuchante se pointer à l'orée de leur porte-monnaie, les salariées sans salaires ont fini par avoir recours aux prud'hommes. "Prud'hommes" signifie "prudents bons hommes" : les gugusses ont mis 3 semaines pour se décider à faire leur boulot (sans doute impressionnés par l'aristocratesse). Ensuite, il ne leur a fallu qu'une petite dizaine d'années pour rendre une décision, c'est-à-dire accoucher d'une simple mise en demeure de la dame-patronesse avec prière de cracher au bassinet. Cependant, pas un sou d'amende, pas une seule demi-journée en garde-à-vue ou dans une taule pour femmes. Ces prud'hommes... aussi vaillants et courageux qu'un membre du MEDEF en faillite. La Justice a un bandeau sur les yeux mais dans certains cas, elle soulève un discret opercule pour voir à qui elle a à faire.
Pour la petite histoire, la mère Royale avait débauché les 2 femmes pour travailler soi-disant sur le budget de l'Education Nationale mais elles s'étaient vite retrouvées à participer au service de propagande de la ministresse. Bref, avec le pognon des salariés la mère Ségo soignait son marketing personnel. Du classique.
Les contrats étant bidonnés, les 2 employées finirent par rendre le torchon à la fille cachée de la mite errante et du Maréchal.
Cette affaire a plongé le Sous-Lieutenant Karpov dans la confusion. Aujourd'hui il fait amende honorable :
Pour la peine, le Sous-Lieutenant relira à haute voix le Manifeste du Parti Communiste de Karl et Friedrich.
Il aura fallu pas moins de 10 ans pour que justice bourgeoise somme la taulière occulte du PS de verser à 2 de ses employées la totalité des salaires qu'elle leur devait. Et y'en a pour bonbon !
De 1995 à 1997, les 2 justiciables ont travaillé comme attachées parlementaires pour les beaux yeux de la mère Royal. Même une fois cette dernière intronisée ministresse de la propagande par le Pasteur Jospin, la non-rémunération du travail de ces 2 personnes avait perduré. Quand c'est pour la Gôche, c'est du bénévolat.
Ne voyant nulle espèce sonnante et trébuchante se pointer à l'orée de leur porte-monnaie, les salariées sans salaires ont fini par avoir recours aux prud'hommes. "Prud'hommes" signifie "prudents bons hommes" : les gugusses ont mis 3 semaines pour se décider à faire leur boulot (sans doute impressionnés par l'aristocratesse). Ensuite, il ne leur a fallu qu'une petite dizaine d'années pour rendre une décision, c'est-à-dire accoucher d'une simple mise en demeure de la dame-patronesse avec prière de cracher au bassinet. Cependant, pas un sou d'amende, pas une seule demi-journée en garde-à-vue ou dans une taule pour femmes. Ces prud'hommes... aussi vaillants et courageux qu'un membre du MEDEF en faillite. La Justice a un bandeau sur les yeux mais dans certains cas, elle soulève un discret opercule pour voir à qui elle a à faire.
Pour la petite histoire, la mère Royale avait débauché les 2 femmes pour travailler soi-disant sur le budget de l'Education Nationale mais elles s'étaient vite retrouvées à participer au service de propagande de la ministresse. Bref, avec le pognon des salariés la mère Ségo soignait son marketing personnel. Du classique.
Les contrats étant bidonnés, les 2 employées finirent par rendre le torchon à la fille cachée de la mite errante et du Maréchal.
Cette affaire a plongé le Sous-Lieutenant Karpov dans la confusion. Aujourd'hui il fait amende honorable :
c'était donc vrai, la mère Royale était présidentiable ; elle avait, au moins autant que son rival de nabot, "ce qu'il faut" pour gouverner. Peut-être aura-t-elle l'opportunité de le démontrer aux électeurs à la prochaine occasion...
Pour la peine, le Sous-Lieutenant relira à haute voix le Manifeste du Parti Communiste de Karl et Friedrich.